[Pagina precedente]...'auteur; et dans le ms. de la bibl. laurentiane, l'inscript. porte [4370]'????(???????(?(????. Bull. de Férus. l.c. alla p.4312. tom.8. p.11. art.12. 1827. juill. - Essendo incerto (?(????? l'autore di quel trattato, fu detto: egli è di Dionisio d'Alicarnasso o di Longino: non per altro se non perchè nella media grecità questi furono i retori tecnici più conosciuti, i capi del genere rettorico. Esempio insigne del modo con cui si procedeva in simili attribuzioni: di Dionisio o di Longino: quasi vi fosse alcuna analogia fra lo scrivere di Dionisio, autore del 1. secolo, e quel di Longino ch'è del 3. Intanto la Critica riconosce manifestamente e senza molta fatica che quel trattato non può essere nè dell'uno nè dell'altro. (Bull. ec. ibidem.) - Weiske e l'autore di un libro pubblicato a Londra 1826. intitolato Remarks on the supposed Dionysius Longinus, riportano quel trattato al secolo d'Augusto. Amati l'attribuisce veramente a Dionisio d'Alicarnasso, non avendo osservata (come non l'ha nessun altro) la vera ragione per cui i mss. parig. e vatic. hanno il nome di Dionisio; e che, oltre la totale differenza dello stile, quel trattato è contro Cecilio Calattino, il quale fu amico di Dionisio Alicarnasseo, cosa parimente non osservata da altri. V. p.4440.
Les amours de Cydippe et d'Acontius nous sont connues, surtout par les lettres qu'Ovide leur attribue dans ses Héroïdes. Callimaque fut la source où puisa Ovide: M. Buttmann (Ueber, die Fabel der Kydippe. Sur la fable de Cydippe, par Philippe Buttmann. Mémoir. de l'Acad. de Munich; to. 9. ann. 1823-1824., partie philologiq., p.199-216.) rassemble et discute les fragmens de ce dernier [4371]poëte, où il est question de Cydippe. Cette fable, si nous en croyons le savant professeur, est identique avec l'histoire de Ctesylla (sic) et d'Hermochares, rapportée par Antoninus Liberalis et Nicander Bull. etc. juill. 1827. t.8. art.34. p.35. - E quante altre favole, o racconti appartenenti a tempi mitici o eroici, si trovano ripetuti con diversi nomi e luoghi in diversi scrittori, non solo greci e latini, ma anche greci solamente! - Codro, Eretteo ec. I Deci ec.
Le combat de trente Bretons contre trente Anglais, publié d'après les manuscrits de la Bibliothèque du roi, par M. Crapelet, imprimeur. Paris, 1827. Long-temps l'authenticité de ce combat fut contestée, et on n'avait pu produire jusqu'ici qu'un seul ms. de 1470, conservé dans la bibl. de Rennes. L'heureuse découverte du récit en vers du Combat des Trente, faite dans un recueil de pièces mss. de la Bibl. du Roi, par le chev. de Fréminville, donna lieu, en 1819, à une première publication d'un nouveau document; mais il était important que le texte fût reproduit avec la plus scrupuleuse exactitude. M. Crapelet a complété tout ce que laissait désirer à cet égard la 1. édit. Il a fait suivre cette publication d'une traduct. littérale du poëme et d'une autre relation du combat, extraite des chroniques de Froissart. L'ouvrage est orné d'une planche représentant le monument élevé en mémoire de ce combat, et les armoiries des 30 chevv. bretons, dessinées d'après les armoriaux de la Bibl. du Roi, et d'autres armoriaux particuliers et inédits. (Ib. t.8. p.389-90. art.407. octob. 1827.) - V. nel Guicciardini [4372]ec. il famoso combattimento dei 10 italiani e 10 francesi all'assedio di Barletta sotto il Gran Capitano; e quello di un Bavaro e di un italiano nel Giambullari, riferito nella mia Crestomazia, p.23. - Orazi e Curiazi ec.
(9. Sett. 1828.)
Hordeum - fordeum. V. Forcellini.
Alla p.4350. marg. I sonetti, canzoni ec. ed anche lunghi poemi in istile e forma puerile, di cui abbondavano prima di Dante le lingue volgari, non solo italiana ma francese spagnuola ec., non costituivano e non erano considerati costituire una letteratura. V. p.4413.
Alla p.4356. L'entusiasmo l'ispirazione, essenziali alla poesia, non sono cose durevoli. Nè si possono troppo a lungo mantenere in chi legge.
Alla p.4361. Di queste poesie serviane sono state fatte, dopo la pubblicazione di Wuk, delle traduzioni ed imitazioni in tedesco. Ib. févr. 1827. art.156. p.124. t.7. V. p.4399.
Alla p.4362. Guillaume-Tell et la Révolution de 1303; ou Histoire des 3 premiers cantons jusqu'au traité de Brunnen, 1315, et réfutation de la fameuse brochure Guillaume-Tell, fable danoise (répétée dans cet ouvrage); par J.-J. Hisely, D.r en philosophie et belles-lettres. In 8° Delft 1826. (Ib. févr. 1827. t.7. art.210. p.182.)
Alla p.4358. Il poeta non imita la natura: ben è vero che la natura parla dentro di lui e per la sua bocca. I' mi son un che quando Natura parla, ec. vera definizione del poeta. Così il poeta non è imitatore se [4373]non di se stesso. (10. Sett. 1828.). Quando colla imitazione egli esce veramente da se medesimo, quella propriamente non è più poesia, facoltà divina; quella è un'arte umana; è prosa, malgrado il verso e il linguaggio. Come prosa misurata, e come arte umana, può stare; ed io non intendo di condannarla.
(10. Sett. 1828.)
L'auteur (M. Faber. Synglosse, oder Grundsaetze der Sprachforschung. Synglose, ou Principes des recherches sur les langues, par Junius Faber. 213. p. in-12°. Carlsruhe, 1826.) a été amené par tous ces rapprochemens à conclure qu'il n'y a qu'une seule langue, et que ce que l'on nomme ordinairement langues, ne sont que les dialectes de cet idiome unique, dans lequel la forme, et non pas le fond ou l'essence des mots s'est modifiée; enfin, que cette essence des mots est contenue dans les racines qui ont existé dès le commencement, et dont on peut prouver l'origine par des raisonnemens physiologiques. Depping. Bull. etc. l. cit. alla p.4312. Mars, 1827. t.7. art.231. p.202.
- M. Kärcher ne doute pas que les langues connues ne proviennent toutes d'une langue primitive; il se propose etc. encouragé par le suffrage de M. Goulianof, qui se propose, dit-il, de démontrer la certitude de cette dérivation universelle des idiomes d'un seul qui fut la souche de tous. Il se pourrait que des critiques d'une autorité au moins égale à celle de M. Goulianof, fussent d'un avis tout opposé. Quoi qu'il en soit, et M. Kärcher est bien le maître [4374]de préférer son opinion à celle des autres, etc. Champollion-Figeac. Ib. Décem. 1827. t.8. art.430. p.410.
(10. Sett. 1828.)
M. Lindemann (Novus thesaurus latinae linguae prosodiacus. in 8° Zittaviae et Lipsiae, 1827.) s'est aussi attaché à la vieille prosodie (latine), à celle qui précéda Ennius, et qui est bien différente de celle que l'on nous enseigne aujourd'hui, ainsi que l'ont démontré des critiques modernes, et surtout M. Hermann. Bull. de Féruss. l. cit. alla p.4312. mars, 1827. t.7. art.253. p.221. È dunque ragionevole quel ch'io dico altrove della mutata pronunzia prosodiaca greca a' tempi romani, de' sofisti ec. e della sua influenza sulla struttura de' periodi ec.
(11. Sett. 1828.)
Observations sur le meilleur système d'orthographe portugaise; par Rodr. Ferreira da Costa. (Memor. da Acad. real das scienc. de Lisboa, tom.8, part.1, p.102.) En 1820 l'Académie de Lisbonne résolut de rédiger un vocabulaire orthographique pour son usage. À ce sujet un de ses membres a cru devoir poser les principes d'après lesquels il faudrait procéder. Il rappelle d'abord les divers systèmes auxquels on a ordinairement recours; les uns veulent écrire comme on prononce, d'autres veulent qu'on reste fidèle à l'étymologie, d'autres encore préfèrent l'usage général, d'autres encore combinent ces 3. systèmes, ce qui en fait un 4e L'auteur en examine les avantages et les inconvéniens: ec. Ib. septem. 1827. t.8. art.216. p.217. Risulta dalle sue osservazioni che l'ortografia portoghese [4375]non è ancora fissata.
(11. Sett. 1828.)
Alla p.4345. Quaestiones Herodoteae; par le docteur C.-G.-L. Heyse. Part.1. De vitâ et itineribus Herodoti; in 8° de 141. p.; Berlin, 1827. - sect.2. De recitatione, quam Olympiae habuisse fertur Herodotus ol. 81. sect.3. Vitae decursus usque ad ol. 84, de recitatione Athenis habitâ, deque ec. Bull. etc. Déc. 1827. t.8. art.425. p.408.
(11. Sett. 1828.). V. p.4400.
Lingua universalis communi omnium nationum usui accommodata; per A. Rethy. In 8°. de 144. pag. Vienne, 1821. (Leipzig. Liter. Zeitung; avr. 1827, p.758.) Bien que ce projet, de créer une langue universelle, contienne plusieurs bonnes idées, il n'offre cependant qu'une nouvelle preuve en faveur de l'opinion que la solution de ce grand problème restera inexécutable, tant que les sciences philosophiques ne seront point portées à un plus haut degré de perfection. L'auteur s'étant attaché à reporter la construction de sa langue à celle de la langue qu'il affirme primitive, a fait violence à l'histoire des langues afin d'appuyer son système. D'après lui, la langue primitive n'a été composée que de mots monosyllabiques, destinés à désigner les idées les plus générales, et qui, au moyen de leurs diverses combinaisons, suffisaient, dit-il, pour faire entendre toutes les idées combinées. D'après la nature de cet aperçu fondamental, on peut se dispenser de suivre l'auteur dans ses applications. Ib. juillet, [4376]1827. t.8. art.2. p.3.
(11. Sett. 1828.)
Alphabet phonométrique; découverte de huit lettres nouvelles; par Virard. In 8°. Grenoble, 1827. M. Virard s'occupe, depuis plus de 20 ans, de tout ce qui se rapporte à la grammaire. Par une heureuse combinaison dégageant la langue de toutes les lettres qui tiennent dans les mots une place oisive, arbitraire, et tout-à -fait inutile à la prononciation, il a atteint plus qu'aucun autre le moyen d'écrire comme on parle. Les lettres et leur assemblage, dont il fait usage, ne répresentent que le son de la voix, et par les exemples qu'il donne, il ajoute à la démonstration de sa méthode qu'il ne croit point encore perfectionnée, appelant, sur ce sujet, les méditations des grammairiens les plus érudits. Lorsque la prononciation sera notée d'une manière sûre et invariable, ce sera le moyen d'en conserver la pureté, de détruire le mauvais accent des provinces, de faire entendre à l'étranger le véritable son du mot et de transmettre en tout temps, d'âge en âge, un accent pur, inaltérable, et de perpétuer l'harmonie du discours, quand la langue sera devenue morte. A. Métral. ib. févr. 1828. t.9. p.131-2. art.109. Le 8 nuove lettere saranno per i suoni francesi che non corrispondono veramente a nessun de' segni dell'alfabeto latino. Credo che lo scopo di M. Virard non sia d'introdurre nell'uso una nuova ortografia, [4377]ma solo di perfezionare il metodo rappresentativo usato p.e. in quei dizionari che hanno la prononciation figurée. Sicchè la lingua francese (e simili) avrebbe bisogno di due scritture ec.
(13. Sett.)
- Journal grammatical et didactique de la langue française. rédigé par M. Marle. In 8., n.11 à 22. Paris, 1827 et 1828... L'esprit d'innovation gagne aussi la Société grammaticale (i compilatori di quel Giornale). Voilà qu'on veut réformer l'orthographe de la langue française pour la soumettre plus directement à l'influence de la prononciation. Nous répéterons ici ce que nous avons dit ailleurs, que l'orthog. et la prononc. sont réciproquement représentatives l'une de l'autre, mais à droits inégaux, c. à d. que l'orth. a des titres primitifs inviolables, qui sa compagne doit d'abord respecter, et devenir ensuite belle et euphonique, si elle le peut, tout en rendant hommage aus droits de son aînée. Ces droits primitifs de l'orth. procèdent de l'origine même des mots, ou de l'étymologie: corrompre l'orth. de ces mots aux dépens de l'étymologie et au bénéfice d'une manière d'écrire plus commode, pour l'ignorance surtout, c'est introduire la barbarie dans la langue, lui ouvrir une voie sans fin de corruption (l'es. dell'italiano dimostra il contrario), et faire de tous les mots de la langue ce qu'une femme célèbre disait d'un peuple qui reniait ses notabilités historiques, une famille d'enfans trouvés. La Société grammaticale doit renoncer à une [4378]entreprise q...
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